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15/10/2008

--- (suite)

En revanche, constater sa propre bêtise et son propre ridicule (si tant est qu'on en soit vraiment capable) peut avoir quelque chose de fort distrayant et de stimulant.

(On imagine, par exemple, difficilement le plaisir indescriptible que je peux prendre à relire la note précédente et à ainsi m'observer jouer les moralistes de bazar. Et pour l'édification de qui, d'ailleurs ?...).

17:22 Écrit par Neothene dans Méditations | Lien permanent | Commentaires (0)

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