02/10/2009
A travers nous
C'était comme si le regard que je lui lançais ne m'appartenait pas.
Comme si quelque chose ou quelqu'un le jugeait à travers moi.
Lui l'arrogant, lui le suffisant, il a détourné les yeux,
Il a détourné la tête,
Devenant d'un coup enfant apeuré et surpris d'être pris en faute.
00:02 Écrit par Neothene dans Méditations | Lien permanent | Commentaires (0)
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