24/06/2011
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Le livre fermé, à travers la vitre, les lieux trop connus défilent que je ne reconnais plus. Le regard du nomade maladif et éperdu m’a contaminé, et chaque tableau - mille fois déchiffré, aperçu - de cet espace restreint et balisé, m’apparaît soudain comme un fragment de cosmos dense, vibrant et exotique.
11:55 Écrit par Neothene dans Méditations | Lien permanent | Commentaires (0)
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