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10/08/2013

Passage et jugement - Rêve du 10 août

Je suis face à un mur d’enceinte qui ressemble au mur d'un vieux cimetière. Je suis accompagné d’une ou deux personnes, des hommes, que je n’identifie pas.

Nous marchons vers ce qui semble être la sortie. Un pilier de chaque côté, pas de grille. Le tout débouche sur une grande étendue. Nous sommes en haut d’une colline. Ambiance claire et matinale. Je sais que derrière le mur sur la droite se tient Dieu.

Une fois passé le mur, nous devons « subir » son jugement. Je passe le premier, et lorsque je me tourne vers la droite, j’aperçois une sorte de trône de pierre, mais personne n’y est installé. Puis Dieu s’avance vers moi, un peu courbé, marchant lentement entre de vieilles tombes de pierre couvertes sur lesquelles il s'appuie. Assez grand, il ressemble à une statue en pierre de dieu antique. Une sorte de Jupiter ou de Poséidon grisâtre.

Mais lorsqu’il arrive près de moi, je me retrouve soudain dans le vestibule d’un appartement et Dieu a pris la forme d'une petite fille de quatre ou cinq ans. L'enfant me réclame un câlin. Je m’agenouille et  la prends très tendrement dans mes bras, je l’étreins doucement et un sentiment d’amour extrêmement puissant me submerge, rayonne littéralement en dedans de moi et autour.

Puis peu à peu, je vois la petite fille grandir entre mes bras et se transformer en une femme très attirante, nue sous une robe transparente. Elle m’embrasse dans le cou. J’éprouve alors pour elle un désir intense. Fin du rêve.

12:54 Écrit par Neothene dans Nuits | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : rêve, rêves, nuit, nuits

Rêve de juin

Nous nous trouvons dans une sorte de caserne à ciel ouvert, un autre homme et moi. Nous sommes syriens et nous venons d’être arrêtés. Pour quelle raison? Je n'en sais rien. Je ne sais même pas s'il doit y avoir une raison à cela. Nous sommes extrêmement inquiets, sûrs d’être torturés et l'attente est interminable. Des hommes de la caserne s’activent autour de nous sans nous prêter la moindre attention. Comme si nous étions invisibles.

Le soir arrive et un gaillard robuste et moustachu en uniforme nous reçoit dans son bureau pour statuer sur notre cas. Il est jovial, bonhomme et semble de très bonne humeur, et il décide de manière totalement arbitraire, après nous avoir fait vaguement la morale, de nous laisser partir. Fin du rêve.

12:41 Écrit par Neothene dans Nuits | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : rêve, rêves

09/06/2012

Rêve du 9 juin

Sur un plateau de télévision, deux répliques de ma fille de deux ans et demi, l’une cheveux châtains l’autre blonde, dansent derrière deux micros et chantent avec l’air de bien s’amuser. Dans mon rêve, ce sont les filles de Jacques Higelin. Mon regard s’étend au reste de la scène et je m’aperçois qu’elles sont cinq  au total, toutes identiques hormis la couleur de leurs cheveux déclinée du blond jusqu’au brun foncé.

Je me retrouve ensuite chez Jacques Higelin. Il habite un studio crasseux dont le sol est jonché de cadavres de bouteilles de gin et de moutons de cheveux. Nous sommes tout deux aussi sur une espèce de paillasse qui fait office de lit. Higelin est assis en tailleur à côté de moi, les cheveux en bataille, habillé de vêtements larges, sales et froissés, l’air pas réveillé. Nous sommes dos à la fenêtre, et je me tourne parfois pour regarder la rue à travers la vitre ; nous nous trouvons visiblement rue des écoles dans la 5ème arrondissement, à l’endroit où se trouve normalement le Collège de France. Higelin tente de m’expliquer, au moyen d’un discours à la fois alambiqué et hésitant ponctué de grands gestes, les raisons pour lesquelles il tient à ce que ses filles commencent à faire de la scène dès le plus jeune âge. Je me tourne de nouveau vers la fenêtre et constate que la rue n’est plus la même ; nous sommes maintenant en province ou à l’étranger.

Une dame de cinquante ans, visiblement espagnole ou portugaise, rentre dans le studio. C’est la femme de ménage de Jacques Higelin qui revient des courses et lui rapporte une brosse à dent.rose et blanche Fin du rêve.

 

11:25 Écrit par Neothene dans Nuits | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : rêve, rêves

09/01/2012

L'attentat

Une vaste salle en rez-de-chaussée pourvue de larges fenêtres ; lieu hybride entre une salle des fêtes et une place. Lieu de passage, lieu de rencontre. Beaucoup de personnes évoluent tranquillement à l’intérieur dans une atmosphère de relative sérénité.

Je prends conscience de l’agitation soudaine qui se crée autour de moi ; je comprends – par les gens ? Par déduction ou intuition ? – qu’une personne ayant la volonté de perpétrer un acte terroriste s’est introduite dans la salle.

Je finis par l’apercevoir : pas très grande, en jean, la tête couverte d’un foulard gris ou blanc attaché à la manière des pirates. Les gens la suivent un peu agités et tentent visiblement de la raisonner ; mais elle semble ne rien vouloir entendre et tout dans son attitude traduit l’évitement, la fermeture et la fuite. Elle se dérobe aux différents groupes de personnes qui cherchent à l’intercepter.

Une image très précise se dessine dans mon esprit. J’ai la vision d’une sorte de sachet transparent contenant des choses ressemblant à des marrons ou des noix, quatre ou cinq, pas plus, et je sais intuitivement que ce sont des choses radioactives extrêmement dangereuses, et que c’est précisément l’arme que va utiliser la jeune femme pour commettre son attentat.

Je prends progressivement conscience du caractère inéluctable de notre mort à tous, comme chaque personne autour de moi. Toutes se sont calmées.

Puis vient la sensation très forte et très nette, douloureuse, d’être soudain irradié, de cuire littéralement. Je me sens partir peu à peu. « Seigneur Jésus ! » seront, dans ce rêve, les dernières paroles que je prononcerais mentalement, comme si j’amorçais un cheminement vers une sorte d’ailleurs.

 

11:14 Écrit par Neothene dans Nuits | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : rêve, rêves

06/06/2010

Juger

Juger l'homme d'après ses chimères et la réalité qu'il leur donne ?

06/05/2010

Nuits VI

(De mémoire. Les grandes lignes sont là mais certains élèments et détails manquent. L'impression générale demeure et malgré son côté étrange et au premier abord inquiétant, je n'ai ressenti aucun réel sentiment de peur durant ce rêve).

Une grande maison à étage. J'ignore s'il s'agit de la mienne. Quelque chose a pris possession du lieu. Le danger plane. Je regarde le plafond de la pièce où je me tiens (sorte de salon) et qui semble constitué (ou recouvert) d'une sorte de lambris. Quelque chose de très lourd pèse sur le sol à l'étage, et entre les lattes s'écoule par endroits une substance blanchâtre ressemblant à du sperme et qui, vraisemblablement, émane de la chose (c'est comme ça que je l'identifie) qui se trouve au-dessus de nous ; ceci nous indique, à moi et à l'autre personne (non identifiée) qui se tient à côté de moi, que le danger se rapproche de nous. Nous quittons la maison pour nous mettre en sécurité.

Revenons un peu plus tard au même endroit. La chose se rapproche de nouveau; pas de manifestation visible; nous sentons juste sa présence mais, cette fois, nous ne cherchons pas à fuir. A travers une des portes restée ouverte, nous apercevons alors une partie du corps de la créature, sorte d'amas de couleur blanchâtre qui semble passer dans l'autre pièce, la parcourir et en remplir tout l'espace en même temps. Parfois un portion de la masse se détache partiellement constituant comme un membre qui tente, à travers la porte, d'attraper quelque chose au passage.

Puis tout rentre dans l'ordre. L'entité disparaît. Je ne me rappelle ni comment, ni pourquoi.

23:39 Écrit par Neothene dans Nuits | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : rêve, nuit, rêves